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dinh van x Aimee Lou Wood

2025 - 2026 campaign

DINH VAN x AIMEE LOU WOOD 
Sous titre

Campagne 2025-2026

Aimee Lou Wood embodies the iconic, authentic spirit animating Maison dinh van. A campaign with a bold and free signature, brought to life by Eva Vik and photographed by Julien Vallon. .

NEW CHAPTER

The only signature: freedom

She doesn’t play roles. She’s simply herself.

An actress with a magnetic presence, a modern muse with a distinctive charm. Aimee Lou Wood asserts her voice, her style, her pace. She’s a modern woman: indomitable, authentic, utterly free. She embodies a new generation of women: strong, free, sincere. 

Her authenticity resonates with simplicity of movement, clean lines, and the art of the essential in the dinh van signature. This is the meeting point of jeweler’s know-how, designer’s eye and sculptor’s hand. Jewelry designed to live, follow each movement. 

Together, dinh van and Aimee Lou Wood celebrate free jewelry that’s modern and sincere.






A dreamlike world by dinh van

Where dream meets design, Aimee disrupts, just like a modern Alice in a dinhvanian world... jewelry transforms into décor, vast sculptures and passages of initiation. The Maison’s iconic creations become life-size pieces of architecture - a lock becomes a threshold to pass, a paving stone comes to life, Aimee is depicted in miniature form. As she wears them, each piece reveals a new aspect: radical, radiant, freed. In this world of clean lines and assumed contrasts, jewelry becomes the language of freedom. 

In Alice in Wonderland, the heroine finds herself in a surreal world, abundant and beyond the realm of logic. At dinh van, Aimee similarly “disrupts”, but in a dreamlike, graphic, refined and orderly world: Wonderland on a minimalist scale.

"Behind every lock, dinh van world opens."



L'HOMME

Jean Dinh Van : sculpteur-joaillier

Né en 1927 d’une mère bretonne et d’un père laqueur vietnamien, Jean Dinh Van étudie le dessin aux Arts Décoratifs, puis l’art de la ferronnerie à l’école de joaillerie de Paris.

De cet apprentissage du feu, la sculpture lui vient naturellement.

En 1950, il rejoint ©Cartier, où il restera dix ans, d’abord comme apprenti, puis comme ouvrier-joaillier.

LE SCULPTEUR

Guidé par son instinct

Jean Dinh Van, artisan joaillier, façonne, modèle et retravaille la matière jusqu’à trouver les proportions parfaites : il a l’œil, le génie des formes.

Jean Dinh Van entrait dans la matière, sculptant le métal en suivant son instinct. Il aimait jouer avec l’équilibre des formes et des volumes, cherchant toujours l’essentiel. Il prenait plaisir à associer des matériaux encore jamais combinés, comme l’or et l’acier.

« J’avais touché le métal, une passion était née : j’aimais l’or ! » — Jean Dinh Van

Il a perfectionné ce geste dès ses premières années. Diplômé de l’École des Arts Décoratifs, il rejoint ©Cartier – comme son père avant lui – où il travaille aux côtés de Jeanne Toussaint.

Pendant dix ans, il y développe son talent créatif, réalisant des pièces exceptionnelles et des parures uniques destinées à une clientèle fortunée et mondaine.

Iconoclaste

Après 10 années passées chez ©Cartier, Jean Dinh Van s’émancipe. Cette indépendance nouvelle s’exerce tout d’abord rue Saint-Anne où l’artisan collabore avec Jean Schlumberger. Puis la fondation d’une société éponyme, en 1965, ainsi que l’ouverture d’un atelier place Gaillon à Paris lui permettent de mettre en œuvre sa vision singulière de la joaillerie.

Alors que la tradition joaillière impose des bagues rondes, Jean Dinh Van les imagine carrées. Là où les fermoirs sont habituellement dissimulés, Jean Dinh Van en fait le motif central de ses bijoux : les collections Menottes dinh van et Serrure en sont les meilleures illustrations.

« Le bijou doit refléter la personnalité de la femme qui le porte, car elle veut le porter tout le temps, et pas seulement le sortir de son coffre pour une occasion exceptionnelle. » — Jean Dinh Van.

En 1967, il fait la connaissance de Marie-Françoise Bleustein-Blanchet, fille du fondateur de Publicis, qui le persuade de s'affranchir des boutiques de joaillerie traditionnelles et de vendre ses bijoux au Drugstore Publicis, premier point de vente de la marque.

Le quotidien

Comprendre la vision de Jean Dinh Van, c’est aussi revenir aux années soixante et à leur effervescence culturelle, qui a bouleversé de nombreuses disciplines et secteurs.

Inspiré par ces transformations, Jean Dinh Van souhaite faire sortir le bijou des coffres et le démocratiser, en proposant une nouvelle approche de la joaillerie. Il anticipe les nouvelles aspirations de la femme moderne, rompant avec les codes ancestraux de la joaillerie et de la haute joaillerie.

Des objets en apparence simples et purement fonctionnels — une clef, une serrure, une lame de rasoir ou une punaise — sont ainsi élevés au rang de motifs précieux, et trouvent, à travers le métal, une forme de noblesse.

À travers ses créations, il écrit sa propre définition du luxe, discret, non ostentatoire, donnant vie à des bijoux réduits à l’essentiel, à porter chaque jour.





AIMEE LOU WOOD

Modernity embodied

Aimee Lou Wood is a British actress born on 3 February 1994 in Stockport, Greater Manchester. 

A graduate of the Royal Academy of Dramatic Art in 2017, she began her career on stage before becoming known to the general public in 2019 following her role as Aimee Gibbs in the Netflix series, Sex Education. Her moving, sincere performance won her a BAFTA in 2021. 

She then went into film, with notable roles in The Electrical Life of Louis Wain (2021) and Living (2022), alongside Bill Nighy. In 2025, she joined the cast of the dramatic series The White Lotus, underscoring her desire to diversify her roles, which earned her a nomination at the Primetime Emmy Awards for Outstanding Supporting Actress in a Drama Series.

L'AVENTURE AMÉRICAINE

Jean Dinh Van se fait remarquer lors de l’Exposition universelle de Montréal en 1967, où il est sélectionné parmi les quatre meilleurs joailliers français pour exposer. Repéré par les équipes de ©Cartier New York, ses créations sont rapidement distribuées sur la 5e Avenue et à Palm Beach — un tournant majeur. 

Pendant 10 ans, à partir de 1967 il supervise la fabrication de ses bijoux dans les ateliers de ©Cartier New York. Les pièces, alors cosignées ©Cartier et dinh van, sont diffusées à travers toute l’Amérique du Nord.

L’aventure américaine se prolonge : certaines de ses œuvres intègrent la collection du Museum of Fine Arts de Boston.

En 1977, fort de ce rayonnement, Jean Dinh Van ouvre sa propre boutique à New York, sur Madison Avenue.

AMITIÉ ARTISTIQUE

Acteur de la scène mondaine parisienne, Jean Dinh Van croise une multitude de personnalités, parmi lesquelles Pierre Cardin et Paco Rabanne, avec qui la collaboration donnera naissance à des créations emblématiques.

Entouré de ces talents, il compose, il crée un langage esthétique inédit, où chaque bijou devient l’expression d’un style affranchi des codes traditionnels.

Parmi les membres de son entourage, on compte également le sculpteur César. Jean Dinh Van lui propose d’exposer dans sa boutique de la rue de la Paix le pendentif en forme de sein, moulé sur celui de la danseuse Trucula Bonbon du Crazy Horse.

LA CLEF, SYMBOLE DE LIBERTÉ

Conjuguant forme évocatrice et profondeur symbolique, cette sculpture joaillière réalise une double synthèse. Sémantique tout d’abord, puisqu’elle symbolise l’attachement par le biais d’un motif prisé par le créateur au quotidien.

« Le bijou Menotte trouve son origine dans une clef de serrure » rappelait le joaillier.
« Du morceau de métal que j’avais dans la main pour ouvrir et fermer, j’en ai décliné cette Menotte. »

Artisanale ensuite, avec le fermoir bijou Serrure puisqu’il sollicite à la fois la souplesse qui facilite l’ouverture de la pièce, et la rigidité qui évite toute déformation.

60 ANS DE CRÉATIONS ICONIQUES 

Pour mettre en lumière la singularité d’une maison qui, depuis 60 ans, puise son identité dans la vision unique d’un joaillier iconoclaste, l’histoire des créations dinh van se développera à partir de septembre 2025, dans une exposition et un livre inédit.

Et pour célébrer 60 ans de liberté, des créations emblématiques rendent hommage à des symboles forts : le Pavé, le bracelet Serrure et la bague Double. 

LE PAVÉ

Emblème d’une manifestation étudiante née au cœur de la Sorbonne en 1968, le Pavé devient pour Jean Dinh Van le symbole d’une joaillerie qui martèle son manifeste d’indépendance et de liberté.

À l’occasion du 60ème anniversaire de la maison, Le Pavé prolonge cette quête. Ce symbole de liberté se réédifie, à partir de septembre 2025, dans une collection complète mettant en lumière l'or jaune 18 carats et l'argent. Bague sculpturale ou pendentif géométrique, l’icône qui a marqué plusieurs générations prouve la versatilité de son design contemporain, pour aller à la rencontre des femmes et des hommes d’aujourd’hui.

À ces rééditions s’ajoutent deux nouvelles déclinaisons du collier grand modèle Pavé en or jaune, désormais proposées en petit et moyen modèles. Plusieurs versions de bracelets complètent également cette collection, telles de précieuses amulettes à porter au quotidien.

SERRURE

Ce bijou iconique, totalement dénué de mécanisme, naît il y a 50 ans, en 1975.

Cette prouesse technique prend la forme d’un ruban d’or étiré qu’un léger coup de marteau aplatit à son extrémité. Un fermoir figurant le dessin d’une serrure compose un système d’attache ingénieux permettant d’enfiler et de retirer à l’envie ce bijou du quotidien.

Iconique de la Maison dinh van, le jonc est célébré cette année dans une édition inédite : la collection Serrure révèle, à partir d’octobre 2025, une nouvelle version du bracelet Serrure Ruban en or jaune où le fermoir arbore une signature carrée surplombée d’un diamant taille princesse.

BAGUE DOUBLE

dinh van x rabanne

Un autre bijou emblématique de l’histoire de la Maison est réinterprété : la Bague Double pour Paco Rabanne.

Créée par Jean Dinh Van en 1967, pour le défilé du créateur, la presse de l’époque cite « la bague des amours incassables ».

Ciselée dans l’or jaune sur lequel brille un ajourage carré, cette création composée de deux anneaux, inspirés des boucles de ceinture, et reliés par la chaîne iconique de la Maison, est également disponible en argent, comme à l’origine.

C’est cette même bague que le Louvre expose en 2025 dans son exposition Louvre Couture, objets d'art, objets de mode.